Badonviller Meurthe-et-Moselle (+ Borne 880)

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Lieutenant Colonel  FANNEAU de la HORIE  Badonviller - Meurthe et Moselle  
18 novembre 1944  
Il a été l'instructeur du RBFM  




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16.11.1944

MARTINEZ Antoine 2e Cl.


17.11.1944

BONGARD Auguste 2e Cl.


BOTCAZON Roger 2e Cl.


BULLOZA Manuel Sergent


Du CHASTEL de la HOWARDERIE Louis 2e Cl.

DUROS Jean Sgt


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LOPEZ-SANCHEZ Nicolas 2e Cl.


LAFUENTE José, Sergent
Chef Groupe 3eme Section
HT "Santander” nº 410621 Canon de 57mm



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18.11.1944

KRON Françis S/Lt

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17.11.1944

DAVID Claude 2e Cl.


JACQUEMIN Daniel C/Chef

19.11.1944

POPESCO-VINTILA M.d.L.

THOMAS Robert 2e Cl.

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SUR CE SITE

Bonjour,

Et pourtant… Allez-voir ce sujet & encore celui-là!

Jean PFLIEGER a écrit:

Bonjour,

Et pourtant… Allez-voir ce sujet & encore celui-là!

Merci Jean,

quel beau forum.

c'est là :




Bonne journée

....

Suite

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Site de provenance

Durante estos combates perderán la vida los siguientes componentes de La Nueve:
01 / 11 / 1944, MESTRAS-PERÉZ Mateo, soldado de primera, muerto en Hablainville
01 / 11 / 1944, CARIÑO Antonio, Sargento,  muerto en Vacqueville
01 / 11 / 1944, GONZÁLEZ  Augustín, soldado de primera, muerto en  Vacqueville.
11 / 11 / 1944, PEREA Julian, soldado, muerto en Vacqueville.
16 / 11 / 1944, BOTCAZON Roger, soldado, muerto en Badonviller
16 / 11 / 1944, BULLOSA Manuel, sargento, muerto en Badonviller
16 / 11 / 1944, CASTILLO Pedro, soldado, muerto en  Badonviller



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16 / 11 / 1944, DUROS Jean, Sergento, muerto en Badonviller
16 / 11 / 1944, MARTÍNEZ Antonio, soldado, muerto en  Badonviller
16 / 11 / 1944, LÓPEZ-SÁNCHEZ Nicolás, soldado,  muerto en Badonviller
17 / 11 / 1944, BONGARD Auguste, soldado, muerto en Badonviller
17 / 11 / 1944, LAFUENTE José, Sergento, muerto en Badonviller
18 / 11 / 1944, KRON Francis, Subteniente,  muerto en Badonviller

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Lorsque la compagnie arrive en vue de Badonviller, les combats font déjà rage.
Les Allemands tiennent solidement le village.
La Nueve progresse rue par rue, maison par maison.
Les points de résistance ennemis sont détruits peu à peu. La compagnie a trois officiers sur quatre hors de combat. Lorsque le village est pris à midi, les pertes sont élevées, et les hommes fatigués.
Le bilan est de six tués (le sous-lieutenant Kron décèdera plus tard des suites de ses blessures), onze blessés évacués, et trois blessés non évacués.
Malgré cela, le lieutenant-colonel La Horie, commandant le groupement, donne l’ordre d’attaquer Bréménil.
À 14 heures, c’est le départ, quand arrive un contrordre : se mettre en bouchon sur le carrefour nord-est du village et en défense entre le cimetière et la route de Montreux.
À 17 heures, la compagnie est relevée par la 12ème compagnie et se place en réserve.
La Nueve a, au cours de la journée, tué une cinquantaine d’ennemis, fait cent cinquante-trois prisonniers, pris soixante fusils et douze mitraillettes.
Le 18 novembre, la compagnie apprend la mort du lieutenant-colonel La Horie, qui était apprécié de tous.
La Nueve reçoit l’ordre de s’installer à Sainte-Pôle.
Le départ est remis au lendemain.

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