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Sujet: André BOCQUET 1913 - 2000 Dim 12 Nov 2023 - 15:27
Bonjour à tous,
Je m'appelle Cyril et je suis le petit fils de feu André BOCQUET (1913 - 2000) de la 2e DB. Engagé dans la Légion étrangère en 1935. Figurant dans l'annuaire au 1er RMT comme habitant en 1949 à BONDY (Seine) avec pour profession "tourneur" ce qui est cohérent.
J'ai été très bien reçu la semaine passée à l'association (75014) et je remercie encore ces Dames. J'attend avec impatience les réponses de Pau et Vincennes (SHD) pour obtenir toutes informations utiles concernant mon Grand-Père
André BOCQUET sera blessé rue de Rivoli (sous les arcades). Il est sans doute alors hospitalisé à l'hôtel des Invalides. Il rencontrera ma Grand-Mère qui est infirmière, mais y laissera un poumon.
Totalement novice dans les démarches qui concernent la 2e DB, si vous avez des idées qui puissent me permettre de poursuivre mes recherches n'hésitez-pas, je suis preneur de tout !
Voici 2 citations de mon Grand-Père ainsi qu'une carte signée du Général LECLERC et je pense, plus tard, de sa fille Jeanne ?
Je vous souhaite un bon dimanche,
Cyril
CHAMBOLLE et Frank de la Bretonnière aiment ce message
Chris74 Bavard
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Sujet: Re: André BOCQUET 1913 - 2000 Dim 12 Nov 2023 - 23:09
Bonjour M. BOCQUET,
Merci pour ces documents et informations sur votre grand-père, chaque information nous permet d’ajouter toujours et encore quelques pièces au grand puzzle de l’histoire de la 2e DB. D’après sa citation à l’ordre de la Division au sujet de sa blessure le 25 août 1944 rue de Rivoli, on pourrait déduire ( j’emploie bien le conditionnel, car je ne fais qu’une hypothèse) qu’André BOCQUET était à la 2e section de la 3e compagnie du I RMT ( 2/3/ I RMT.
Cette section de combat était alors dirigée à Paris par le lieutenant Maurice FERRANO et elle comportait 5 Half-Tracks : Anne d’Anjou - Marie Claude 2 - Marie Hélène - Marie Yvonne 2 - Marie Louise
Pour en savoir plus sur les événements de l’assaut de l'hôtel Meurice et des arcades de la rue de Rivoli, je vous conseille de lire l’ouvrage très détaillé de Alain EYMARD et Laurent FOURNIER, La 2e DB dans la Libération de Paris, tome II pp. 31-33
Je vous en reproduis ici le témoignage de Guy MERLE membre de la 2e section 3e compagnie I RMT (2/3/IRMT) : 《 Après un rapide rassemblement, où évidemment les manquants sont forts nombreux, nous partons à l'assaut de l'hôtel Meurice, où se trouve le Quartier Général allemand, et du ministère de la Marine. La rue de Rivoli, entièrement déserte, nous signale un étrange contraste avec le spectacle du matin. Nous avançons lentement d'arcade en arcade. De place en place, une porte s'ouvre timidement, et laisse passer une main tremblante tenant un verre de vin. Les balles sifflent à nos oreilles venant d'où ? du toit ? de la fenêtre ? du balcon ? personne de nous ne sait, mais il s'agit probablement de miliciens. En passant devant les Tuileries, la fusillade redouble, et courbés en deux, nous continuons notre progression avec beaucoup de prudence. Dans une petite rue transversale, COURCAUD attaque un convoi allemand au lance-flamme ; bientôt les voitures sont en feu et répandent une immense fumée noire. Un ennemi, les effets entièrement brûlés, court dans la rue les bras en l'air et semble demander pitié. À notre approche du ministère, une mitrailleuse allemande installée au sommet de l'immeuble, balaye toute la rue ; devant cette rapide attaque, deux hommes de chez nous tombent, et deux FFI qui nous accompagnent sont grièvement blessés... Deux brancardiers et deux infirmières, portant le casque blanc se précipitent..., mais à peine sont-ils engagés sur la chaussée qu'une nouvelle rafale retentit... une des deux femmes, gît, inerte dans une mare de sang, face à la lâcheté ennemie... Le poste mitrailleur allemand est toujours invisible. C'est alors qu'après une rapide décision, le lieutenant FERRANO se porte à son tour dans la rue... Le moulin à café marche ! Notre officier après un vif écart n'a rien, mais MARCHETTI a rapidement braqué sa ”Browning”, et nous sortons 600 ”Boches” qui attendaient le moment de se rendre. 》
Également, le témoignage de André GAMBOURG, tireur à la .30 (7,62 mm) sur le half-track Anne d’Anjou de la 2e section 3e compagnie I RMT (2/3/IRMT) : 《 Mon ami HEINDINGER courut porter au capitaine un message nous donnions pour objectif le QG allemand. En un tournemain nous avions passé le grand bras de la Seine et rangions nos blindés devant la tour Saint-Jacques, rue de Rivoli. Pied à terre, brêlés, chargés, en file indienne nous nous engagions vivement sous les arcades. Nos yeux pleins d'appréhension, ne pouvaient se détacher du décor qui nous entourait, à la fois familier et menaçant. Les choses sérieuses allaient commencer. Vite dit, dussent les soldats de ”Faust” ricaner, nous courions au combat, et dans toutes les rues latérales une population aux anges admirait notre allure et crier : ” bravo les petits gars ”. [ ... ] La 2e section s'est engagée dans l'hôtel Meurice, nous avons continué notre avance jusqu'au bout des arcades. Là, j'étais enfin au contact et à la pointe de combat, sous la première arcade, avant le grand vide de la place de la Concorde. Penser à tout ce que ces lieux avaient enregistré de la vie de la France donnait le vertige. Je ne restais pas longtemps à contempler le paysage ; du haut du ministère de la Marine un ”MG42” arrosait le bitume devant nous. Les staccatos rageurs de cette arme se succédaient. Il fallait la neutraliser, c'était la tâche qui m'incombait pour laquelle j'avais parcouru tant de chemin depuis les Pyrénées. Après avoir reculé un peu, je tentais de mettre en batterie la ”Browning” qui pesait sur mon épaule depuis le début de notre périple. Las ! Si je pouvais, en la tenant d'une certaine manière, pointer son canon vers le forcené haut perché, en aucun cas je n'étais capable de déclencher un tir quelconque contre lui. L'incroyable conservatisme de l'Ordnance Dept américain se trouvait illustré ici : ma mitrailleuse ne pouvait tirer en hauteur, car passé un certain angle, les cartouches quittaient les bandes de toile et se répandaient sur le sol. Cela m'expliquait pourquoi le support de bord de notre Half-Track, n'était pas prévu pour un tir antiaérien. Nous n'étions pas là pour épiloguer, et tout notre groupe dirigea le tir de ses armes individuelles vers le dos de notre opposant, que nous voyions paraître de temps à autre entre les colonnades de la balustrade sculptée. J'employai mon Colt 9 mm à cet exercice, ne pouvant transporter à la fois ma carabine, donc je regrettais fort l'absence, et l'arme dont j'avais la charge. Tandis que nous nous efforcions de neutraliser le maîtrise [ matelot en allemand ] acharné, d'autres éléments de la 1e section nous dépasseaient, protégés par notre tir et une fois le ministère atteint, le pénétraient pour faire un nettoyage systématique. Le peu de temps où le seul défenseur apparent de la grande bâtisse fut en action, il marqua d'un sceau funèbre les pierres de la ville. Un groupe de secouristes Croix-Rouge venait d'apparaître de la place où il avait porté secours aux victimes du combat de char devant l'entrée des Tuileries. Pris par surprise devant la sortie cadenassée du métro Concorde leur groupe pitoyable se coucha sous la pluie de balles qui rebondissaient sur la chaussée. Les tenues blanches, le drapeau blanc à Croix-Rouge, agité vainement dans sa direction, ne le sauvèrent pas. Un autre personnage les suivit: c'était un soldat de notre compagnie fraîchement réengagée en Normandie, un ”ancien” de l'infanterie de Marine en retraite, qui avait trouvé le moyen de reprendre du service à notre passage dans son village. Il s'abrita un moment derrière un lampadaire, puis s’affaissa blessé par un projectile. Mon ”chargeur” LEGUERRIER, violemment ému car ”l'ancien” était un de ses ”pays” traversa la rue sans plus réfléchir pour porter secours, d'un coup mon ”pourvoyeur” ne se fit pas prier pour traverser à son tour. J'étais sur ses talons lorsque je le vis s'étaler : une balle lui avait traversé la joue. Je le relevai et m'empressai de le ramener d'où il était parti au moment où le LEGUERRIER arrivait aussi soutenant ”l'ancien” plus sérieusement touché. Cette réédition des ”moutons de Panurge” à peine terminée, alors que nous pansions nos camarades touchés et reprenions haleine, les tirs et le bruit caractéristique qui les signalait s'interrompirent. Notre partie de la bataille était terminée. Le lieutenant FERRANO et GELMI firent retraverser la rue à tous les soldats valides présents pour ramener les corps des victimes du massacre. C'est ainsi que les pauvres secouristes furent posés sur leurs propres brancards. Je fus fortement ému en changeant la première victime qui avait reçu une balle à la racine du nez. Cette jeune fille maigre comme une déportée s'appelait Madeleine BRINET et était membre de la Ligue aéronautique de France tout comme moi. Mais je n'ai appris ces particularités qu'après la guerre.
Selon l’Ordre Général n°57 du 15 septembre 1944 (9810) ont été blessés lors de l’attaque des Tuileries : sergent PONCET, 2e classe Jean CHIARONI, caporal-chef André BOCQUET.
Au plaisir de lire toutes les découvertes que vous pourrez faire très prochainement au sujet de votre grand-père.
Cordialement
FeuAndréBocquet aime ce message
FeuAndréBocquet Nouveau
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Sujet: Re: André BOCQUET 1913 - 2000 Lun 13 Nov 2023 - 13:45
Chris74 a écrit:
Bonjour M. BOCQUET,
Merci pour ces documents et informations sur votre grand-père, chaque information nous permet d’ajouter toujours et encore quelques pièces au grand puzzle de l’histoire de la 2e DB. D’après sa citation à l’ordre de la Division au sujet de sa blessure le 25 août 1944 rue de Rivoli, on pourrait déduire ( j’emploie bien le conditionnel, car je ne fais qu’une hypothèse) qu’André BOCQUET était à la 2e section de la 3e compagnie du I RMT ( 2/3/ I RMT.
Cette section de combat était alors dirigée à Paris par le lieutenant Maurice FERRANO et elle comportait 5 Half-Tracks : Anne d’Anjou - Marie Claude 2 - Marie Hélène - Marie Yvonne 2 - Marie Louise
Pour en savoir plus sur les événements de l’assaut de l'hôtel Meurice et des arcades de la rue de Rivoli, je vous conseille de lire l’ouvrage très détaillé de Alain EYMARD et Laurent FOURNIER, La 2e DB dans la Libération de Paris, tome II pp. 31-33
Je vous en reproduis ici le témoignage de Guy MERLE membre de la 2e section 3e compagnie I RMT (2/3/IRMT) : 《 Après un rapide rassemblement, où évidemment les manquants sont forts nombreux, nous partons à l'assaut de l'hôtel Meurice, où se trouve le Quartier Général allemand, et du ministère de la Marine. La rue de Rivoli, entièrement déserte, nous signale un étrange contraste avec le spectacle du matin. Nous avançons lentement d'arcade en arcade. De place en place, une porte s'ouvre timidement, et laisse passer une main tremblante tenant un verre de vin. Les balles sifflent à nos oreilles venant d'où ? du toit ? de la fenêtre ? du balcon ? personne de nous ne sait, mais il s'agit probablement de miliciens. En passant devant les Tuileries, la fusillade redouble, et courbés en deux, nous continuons notre progression avec beaucoup de prudence. Dans une petite rue transversale, COURCAUD attaque un convoi allemand au lance-flamme ; bientôt les voitures sont en feu et répandent une immense fumée noire. Un ennemi, les effets entièrement brûlés, court dans la rue les bras en l'air et semble demander pitié. À notre approche du ministère, une mitrailleuse allemande installée au sommet de l'immeuble, balaye toute la rue ; devant cette rapide attaque, deux hommes de chez nous tombent, et deux FFI qui nous accompagnent sont grièvement blessés... Deux brancardiers et deux infirmières, portant le casque blanc se précipitent..., mais à peine sont-ils engagés sur la chaussée qu'une nouvelle rafale retentit... une des deux femmes, gît, inerte dans une mare de sang, face à la lâcheté ennemie... Le poste mitrailleur allemand est toujours invisible. C'est alors qu'après une rapide décision, le lieutenant FERRANO se porte à son tour dans la rue... Le moulin à café marche ! Notre officier après un vif écart n'a rien, mais MARCHETTI a rapidement braqué sa ”Browning”, et nous sortons 600 ”Boches” qui attendaient le moment de se rendre. 》
Également, le témoignage de André GAMBOURG, tireur à la .30 (7,62 mm) sur le half-track Anne d’Anjou de la 2e section 3e compagnie I RMT (2/3/IRMT) : 《 Mon ami HEINDINGER courut porter au capitaine un message nous donnions pour objectif le QG allemand. En un tournemain nous avions passé le grand bras de la Seine et rangions nos blindés devant la tour Saint-Jacques, rue de Rivoli. Pied à terre, brêlés, chargés, en file indienne nous nous engagions vivement sous les arcades. Nos yeux pleins d'appréhension, ne pouvaient se détacher du décor qui nous entourait, à la fois familier et menaçant. Les choses sérieuses allaient commencer. Vite dit, dussent les soldats de ”Faust” ricaner, nous courions au combat, et dans toutes les rues latérales une population aux anges admirait notre allure et crier : ” bravo les petits gars ”. [ ... ] La 2e section s'est engagée dans l'hôtel Meurice, nous avons continué notre avance jusqu'au bout des arcades. Là, j'étais enfin au contact et à la pointe de combat, sous la première arcade, avant le grand vide de la place de la Concorde. Penser à tout ce que ces lieux avaient enregistré de la vie de la France donnait le vertige. Je ne restais pas longtemps à contempler le paysage ; du haut du ministère de la Marine un ”MG42” arrosait le bitume devant nous. Les staccatos rageurs de cette arme se succédaient. Il fallait la neutraliser, c'était la tâche qui m'incombait pour laquelle j'avais parcouru tant de chemin depuis les Pyrénées. Après avoir reculé un peu, je tentais de mettre en batterie la ”Browning” qui pesait sur mon épaule depuis le début de notre périple. Las ! Si je pouvais, en la tenant d'une certaine manière, pointer son canon vers le forcené haut perché, en aucun cas je n'étais capable de déclencher un tir quelconque contre lui. L'incroyable conservatisme de l'Ordnance Dept américain se trouvait illustré ici : ma mitrailleuse ne pouvait tirer en hauteur, car passé un certain angle, les cartouches quittaient les bandes de toile et se répandaient sur le sol. Cela m'expliquait pourquoi le support de bord de notre Half-Track, n'était pas prévu pour un tir antiaérien. Nous n'étions pas là pour épiloguer, et tout notre groupe dirigea le tir de ses armes individuelles vers le dos de notre opposant, que nous voyions paraître de temps à autre entre les colonnades de la balustrade sculptée. J'employai mon Colt 9 mm à cet exercice, ne pouvant transporter à la fois ma carabine, donc je regrettais fort l'absence, et l'arme dont j'avais la charge. Tandis que nous nous efforcions de neutraliser le maîtrise [ matelot en allemand ] acharné, d'autres éléments de la 1e section nous dépasseaient, protégés par notre tir et une fois le ministère atteint, le pénétraient pour faire un nettoyage systématique. Le peu de temps où le seul défenseur apparent de la grande bâtisse fut en action, il marqua d'un sceau funèbre les pierres de la ville. Un groupe de secouristes Croix-Rouge venait d'apparaître de la place où il avait porté secours aux victimes du combat de char devant l'entrée des Tuileries. Pris par surprise devant la sortie cadenassée du métro Concorde leur groupe pitoyable se coucha sous la pluie de balles qui rebondissaient sur la chaussée. Les tenues blanches, le drapeau blanc à Croix-Rouge, agité vainement dans sa direction, ne le sauvèrent pas. Un autre personnage les suivit: c'était un soldat de notre compagnie fraîchement réengagée en Normandie, un ”ancien” de l'infanterie de Marine en retraite, qui avait trouvé le moyen de reprendre du service à notre passage dans son village. Il s'abrita un moment derrière un lampadaire, puis s’affaissa blessé par un projectile. Mon ”chargeur” LEGUERRIER, violemment ému car ”l'ancien” était un de ses ”pays” traversa la rue sans plus réfléchir pour porter secours, d'un coup mon ”pourvoyeur” ne se fit pas prier pour traverser à son tour. J'étais sur ses talons lorsque je le vis s'étaler : une balle lui avait traversé la joue. Je le relevai et m'empressai de le ramener d'où il était parti au moment où le LEGUERRIER arrivait aussi soutenant ”l'ancien” plus sérieusement touché. Cette réédition des ”moutons de Panurge” à peine terminée, alors que nous pansions nos camarades touchés et reprenions haleine, les tirs et le bruit caractéristique qui les signalait s'interrompirent. Notre partie de la bataille était terminée. Le lieutenant FERRANO et GELMI firent retraverser la rue à tous les soldats valides présents pour ramener les corps des victimes du massacre. C'est ainsi que les pauvres secouristes furent posés sur leurs propres brancards. Je fus fortement ému en changeant la première victime qui avait reçu une balle à la racine du nez. Cette jeune fille maigre comme une déportée s'appelait Madeleine BRINET et était membre de la Ligue aéronautique de France tout comme moi. Mais je n'ai appris ces particularités qu'après la guerre.
Selon l’Ordre Général n°57 du 15 septembre 1944 (9810) ont été blessés lors de l’attaque des Tuileries : sergent PONCET, 2e classe Jean CHIARONI, caporal-chef André BOCQUET.
Au plaisir de lire toutes les découvertes que vous pourrez faire très prochainement au sujet de votre grand-père.
Cordialement
Bonjour Chris,
Merci beaucoup pour votre message, c'est vraiment passionnant !
J'ai parcouru l'ensemble des pages de l'ordre général numéro 57. J'y ai trouvé la citation de mon grand-père en effet. Je ne connaissais pas ce document. En revanche je n'ai pas trouvé de mention concernant le fait qu'il ait été blessé. Sa citation est page 15. Il est précisé en page 10 : 1er Bataillon du RMT.
Oui j'ai hâte d'avoir des nouvelles du SHD. Pour le moment pas la moindre.
Bon après-midi
Cyril
LEFEBVRE Langue pendue
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Sujet: https://2db.forumactif.com/t6317-andre-bocquet-1913-2000 Jeu 16 Nov 2023 - 14:41
Bonjour à tous les passionnés, bonjour Cyril, voici concernant le seul RMT les différents Ordres Généraux, comprenant le n° 57 du 15 septembre 1944, mais aussi d’autres, espacés dans le temps, dans lesquels les personnels cités sont intervenus, à qui la Croix de Guerre a été attribuée pour leur action à Paris (et très proche banlieue) le 25 août 1944. Les différents bataillons du RMT sont tous impliqués. Cordialement, JL. j'espère malgré différents essais (du bricolage...!) qu'avec un agrandissement "local" vous pourrez prendre connaissance de ces tableaux extraits de la base de données sur le R M T, par ailleurs en accès de lecture en "libre service". Le tri , pour retrouver l'équivalent est me semble-t-il possible, les membres du Forum sauront me le dire ! Merci pour votre indulgence ....
FeuAndréBocquet aime ce message
FeuAndréBocquet Nouveau
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Sujet: Re: André BOCQUET 1913 - 2000 Jeu 16 Nov 2023 - 22:23
Bonjour M.LEFEBVRE,
J'ai réussi à parcourir la liste et j'ai pu trouver André BOCQUET dans celle-ci. Une vraie fierté merci beaucoup. Ou trouver cette base de donnée sur le RMT ?
Je suis maintenant en train de me documenter sur la "Croix de Guerre".
Merci encore
CB
LEFEBVRE aime ce message
LEFEBVRE Langue pendue
Nombre de messages : 152 Age : 73 Date d'inscription : 07/03/2018
Sujet: https://2db.forumactif.com/t6317-andre-bocquet-1913-2000 Ven 17 Nov 2023 - 11:30
Bonjour à tous les passionnés, bonjour Cyril, ci-joint le lien permettant l'accès au tableau dont des extraits ont été publiés hier et concernant le R M T. Par message privé tu en recevras le mode opératoire, que tu ne peux connaître vu ta récente participation ! Cordialement, JL. https://docs.google.com/spreadsheets/d/1O82z-bk26nDe6E74_xRR3uO25GA6BMnr7j_L4D2KlCs/edit?usp=sharing
LEFEBVRE Langue pendue
Nombre de messages : 152 Age : 73 Date d'inscription : 07/03/2018
Sujet: https://2db.forumactif.com/t6317-andre-bocquet-1913-2000 Ven 17 Nov 2023 - 14:09
Re bonjour à tous je dois être très fatigué ou très distrait, le lien proposé concerne le 501ème RCC, voici donc en principe celui du RMT .... excusez le désagrément, le 501 est consulta ble mais moins "sophistiqué" que le RMT beaucoup plus à jour !!! Bonne lecture à tous, cordialement , JL. https://docs.google.com/spreadsheets/d/1p_qCfQxLbhJqWwAtXjg5itUJD0TLq83PQ9tDUdLD7y8/edit?usp=sharing
FeuAndréBocquet Nouveau
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Sujet: Re: André BOCQUET 1913 - 2000 Ven 17 Nov 2023 - 17:16
Voici la plaque d'identité de André BOCQUET. Pourriez-vous me dire à quoi correspondent les informations non évidentes svp ?
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Agon Langue pendue
Nombre de messages : 526 Age : 36 Localisation : Paris Date d'inscription : 20/11/2009
Sujet: Re: André BOCQUET 1913 - 2000 Ven 17 Nov 2023 - 17:23
Bonjour,
2480 = matricule 35 = classe 1935 (il est rattachée à cette classe de par son engagement cette année) Cambrai = bureau de recrutement GS O-IV = groupe sanguin O IV C = catholique
Cordialement Agon
CHAMBOLLE, LEFEBVRE et FeuAndréBocquet aiment ce message